« Quand je mange des glaces, cela me fait réfléchir. »
« Nous ne sommes, après tout, qu'une vermine provisoire. »
« Ce n'est pas au bas du mur qu'on connaît le maçon ; c'est tout en haut. »
« Comprendre, c'est le reflet de créer. »
« Le Français est un paresseux qui travaille beaucoup. L'Anglais un paresseux qui ne fait rien. L'Allemand un travailleur qui se donne du mal. L'Américain, un travailleur qui sait s'arranger pour ne pas faire grand chose. »
« Les économistes ont raison, disait un homme de Bourse : le capital est du travail accumulé. Seulement, comme on ne peut pas tout faire, ce sont les uns qui travaillent et les autres qui accumulent. »
« Les femmes laides n'ont été mises sur la terre que pour faire la consolation des aveugles. »
« La lune est le pain à cacheter de la nature. »
« Il y a dans la peinture quelque chose de plus, qui ne s'explique pas, qui est essentiel. »
« Evitez ceux qui parlent de leur honnêteté ; ils vous roulent. Traitez avec celui qui se vante d'avoir roulé autrui ; c'est qu'il n'en a pas l'habitude. »
« D'abord spontanée, puis inspirée, et ensuite révélée, la religion devient enfin démontrée. »
« Les caresses des yeux sont les plus adorables. »
« Broche - Instrument de cuisine que des femmes attachent à leur corsage. »
« On est sûr qu'une maison marche bien du jour où chacun de ceux qui y sont employés raconte à ses amis que c'est lui qui la fait marcher. »