Arthur Schopenhauer écouter [ˈartʊr ʃoːpʰœnhoːwøʁ] est un philosophe allemand, né le 22 février 1788 à Dantzig en Prusse, mort le 21 septembre 1860 à Francfort-sur-le-Main.
« On ne peut pas être vraiment soi qu'aussi longtemps qu'on est seul ; qui n'aime donc pas la solitude n'aime pas la liberté, car on n'est libre qu'étant seul. »
« On n'est libre qu'en étant seul. »
« Une démonstration grandiose de la misérable subjectivité de l'homme qui lui fait tout rapporter à lui-même est offerte par l'astrologie qui met en rapport la trajectoire des grands corps céleste et le misérable moi. »
« ... Attribuer une haute valeur à l'opinion des hommes, c'est leur faire trop d'honneur. »
« Il est aussi absurde de pleurer sur le temps où on ne sera plus, qu'il le serait de déplorer celui où l'on n'était pas encore. »
« La mort est le génie qui inspire le philosophe, l'Apollon musagète de la philosophie... S'il n'y avait pas la mort, on ne philosopherait guère. »
« Tout enfant est en quelque façon un génie, et tout génie un enfant. »
« Ce n'est plus souvent que la perte des choses qui en en enseigne la valeur. »
« Personne ne peut sortir de son individualité. »
« L'Etat n'est que la muselière dont le but est de rendre inoffensive la bête carnassière, l'homme, et de faire en sorte qu'il ait l'aspect d'un herbivore. »
« S'il ne restait que deux hommes au monde, le plus fort n'hésiterait pas une minute, à défaut de suif pour frotter ses bottes, à tuer son unique compagnon afin d'en prendre la graisse. »
« Le néant après la mort ? N'est-ce pas l'état auquel nous étions habitués avant la vie ? »
« Point de santé si l'on ne se donne tous les jours suffisamment de mouvement. »
« Le monde visible n'est que le miroir de la volonté. »