François Barcelo est un publicitaire et écrivain québécois né à Montréal, le 4 décembre 1941.
« Autant le malheur est capable de frapper avec la rapidité de l'éclair, autant le bonheur est en général lent. Si lent, en fait que pour la plupart des gens la mort arrive bien avant. »
« Il est fréquent qu'un homme évite de se poser les questions qui comptent vraiment, pour ne retenir que les réponses qui lui plaisent. »
« Dès qu'on quitte l'adolescence, on est censé devenir raisonnable on admet que l'amour doit avoir des limites. Et on cesse ainsi d'aimer complètement. »
« Si plus gens savaient comme il est facile en écrivant de créer des femmes d'une telle beauté, les peintres cesseraient de peindre et les photographes de photographier. »
« Il est impossible d'être totalement libre si on n'est pas seul. »
« Il est difficile de rester neutre lorsqu'on est victorieux. »
« Le sens du ridicule est une notion subjective. »
« Le progrès n'est pas quelque chose qu'on demande, mais quelque chose qu'on reçoit. »
« L'éternité, la suite la plus longue possible des moments les plus longs possibles. »
« Tu sais ce qu'il faut faire lorsqu'on a vraiment tout essayé et qu'on a échoué à tout, alors qu'on sait qu'on est dans son droit ? On essaie encore. »
« On a beau se dire qu'on a vu la plus belle femme du monde, il finit toujours par s'en trouver une encore plus belle sur son chemin. »