Georg Christoph Lichtenberg, né à Ober-Ramstadt le 1er juillet 1742 et mort à Göttingen le 24 février 1799, est un philosophe, écrivain et physicien allemand.
« La sympathie est une méchante aumône. »
« Un maître d'école ou un professeur ne peut élever des individus ; il n'élève que des espèces. »
« Même les jeunes filles les plus douces, les plus modestes et les meilleurs sont toujours plus douces, modestes et meilleures lorsqu'elles se sont trouvées belles au miroir. »
« Une préface pourrait être intitulée : paratonnerre. »
« Cette théorie psychologique correspond précisément, à mon sens, à cette autre bien connue en physique, qui explique l'aurore boréale par le reflet des harengs. »
« Ce que l'on doit apprendre pour écrire comme Shakespeare est bien en deçà de ce qu'il faut pour le lire. »
« Le bon sens chez les jeunes, c'est la glace au printemps. »
« Nous avons de nos jours plus d'hommes de droit que de droits hommes. »
« Qui a le droit d'imiter, imite à contrecœur. »
« La prière au soleil est une chose pardonnable. Chacun regarde sans le vouloir vers un endroit lumineux; les animaux le font et ce qui, chez le chat ou le chien, est un regard involontaire vers cette lumière, chez l'homme, cela s'appelle une prière. »
« Tout notre univers n'est rien d'autre qu'une action de la pensée de Dieu sur la matière. »
« Qui se casse les dents sur le noyau mange rarement l'amande. »
« Aujourd'hui, j'ai permis au soleil de se lever plus tôt que moi. »
« Si marcher sur deux jambes n'est pas naturel à l'homme, c'est quand même une invention qui lui fait honneur. »