Paul Lefèvre, dit Paul Géraldy, né à Paris le 6 mai 1885 et mort à Neuilly-sur-Seine le 10 mars 1983, est un poète et dramaturge français.
« L'amour, c'est l'effort que l'homme fait pour se contenter d'une seule femme. »
« L'amour platonique est le temps qui sépare la première rencontre du premier baiser. »
« La gaieté n'est-elle pas le meilleur facteur de l'endurance ? »
« La fortune déçoit les hommes parce qu'elle leur a coûté trop d'efforts, et les femmes parce qu'elle ne leur en a pas coûté assez. »
« On reconnaît une vraie femme à ce que, assiégée, pourchassée, tentée peut-être même, elle est inaccessible. »
« On ne fait pas tenir le monde derrière un front. »
« Il faut se ressembler un peu pour se comprendre, mais il faut être un peu différent pour s'aimer. »
« A quarante ans, l'homme ne sait plus que travailler. Travailler, c'est marcher vers soi-même. »
« C'est la femme qui choisit l'homme qui la choisira. »
« Ce sont les faiblesses du cœur qui sont les plus belles défaillances. »
« Ce sont les faiblesses du cœur qui font les belles défaillances. »
« Ce que nous appelons amour est l'ambition d'éveiller et de maintenir dans une chair, un cœur, un esprit étrangers, le souci de flatter à notre place un moi dont nous ne sommes pas très sûrs. »
« Il est de parfaits corps et de parfaits visages. Il n'y a pas de cœurs parfaits. »
« Le plus grand bien que nous ait jamais donné l'amour, c'est de nous avoir fait croire à l'amour. »