Philippe Delerm est un écrivain français né le 27 novembre 1950 à Auvers-sur-Oise (Val-d'Oise).
« C'est assez curieux, cette façon qu'on a de se livrer au dentiste, abandonné et réticent. »
« On se surprend à marcher sur le bord du trottoir comme on faisait enfant, comme si c'était la marge qui comptait, le bord des choses. »
« Tu ne revivras pas, mais il y a ce chemin des mots qui mène un peu plus près de ton sourire; le souvenir ne te rend pas, mais tu sourds quelquefois de cette folie douce de t'écrire, avec au bout le son-vertige de ta voix. »
« Ce qu'il ne faut jamais manquer, à la télé, c'est ce qui passe quand on rembobine. »
« Moi, les gestes de l'amour me mènent à l'enfance. »
« Ll vaut peut-être mieux écrire des grandes choses sur des petits sujets que des petites choses sur des grands sujets. »
« Trop tard? L'avenir sera ce que vous en ferez. »
« Plus on parle d'une chose petite et même minusculissime et plus on touche à l'essentiel. »
« Il est simple et fort d'aimer tout seul. »
« Le bonheur c'est d'avoir quelqu'un à perdre. »
« On a pas besoin de connaître des aventures extraordinaires dans les mers du Sud pour avoir une vie passionnante. »
« «On pourrait presque...» - C'est bon, la vie au conditionnel. »
« Ce n'est pas ce que l'on dit qui compte, mais ce qu'on entend. »