« Si le puissant mange un caméléon, on dit que c'est pour se soigner, c'est un médicament. Si le pauvre en mange, on l'accuse de gourmandise. »
« En amour, il n'y a que les commencements qui soient charmants ; c'est pourquoi on trouve du plaisir à recommencer souvent. »
« La plume de l'oiseau s'envole en l'air mais elle termine à terre. »
« On revient avec le crédit à une situation proprement féodale, celle d'une fraction de travail due d'avance au seigneur, au travail asservi. »
« Le singe n'abandonne pas sa queue, qu'il tient soit de son père, soit de sa mère. »
« Il me semble qu'on pourrait dire que la débauche est l'aristocratie du vice, et le libertinage en est la démocratie. »
« Comme dans la vie, les contraintes coexistent partout : dans l'organisation sociale et la vie affective, les échanges entre individus. Vivre et réaliser la contradiction, voilà l'essentiel. »
« Je ne regrette rien, je ne me repens de rien, je jouis de tout. »
« Halloween n'a rien de drôle. Ce festival sarcastique reflète plutôt une soif de revanche des enfants sur le monde adulte. »
« Quand un arbre tombe, on l'entend ; quand la forêt pousse, pas un bruit. »
« La meilleure séduction est de n'en employer aucune. »
« Entouré d'un univers de choses tangibles et visibles : les animaux, les végétaux, les astres, l'homme, de tout temps, perçoit qu'au plus profond de ces êtres et de ces choses réside quelque chose de puissant qu'il ne peut décrire, et qui les anime. »
« Le spectacle de la machine qui produit du sens dispense l'homme de penser. »
« Il est une manière d'écouter qui surpasse tous les compliments. »