« Pour contraindre les prostituées, on a toujours utilisé la violence la plus barbare. Mais pour convaincre l'opinion et les parlements, on utilise le langage. »
« La passion, une fois passée, nous pousse à croire que tout n'était qu'illusion. »
« La révolution n'a jamais amené que des régimes totalitaires plus durs que ceux qu'elle cherchait à renverser. »
« La solution recherchée, on la découvre souvent tout près de soi, alors pourquoi chercher l'incertain, l'impossible. Les abus conduisent-ils toujours à l'abîme ? »
« La bonté est le seul charme qui soit permis aux vieillards. C'est la coquetterie des cheveux blancs. »
« Les honneurs ne sont pas une fin en soi. Je les considère comme une incitation à s'en montrer digne. »
« On est travaillé par les choses, autant qu'on travaille sur elles. »
« Qu'est-ce que c'est que l'intelligence d'abord? C'est peut-être d'éviter les lieux communs. »
« La jeune génération n'est ni plus ni moins libre ou amorale que les générations qui l'on précédée. Seulement, elle néglige, elle, de tirer les rideaux. »
« Les autres nous fascinent parce qu'ils ont l'air plus vrais. »
« L'exercice de l'art et celui de la liberté sont en liance étroite et serrée, ils se pratiquent dans la même ascèse et le même refus des aliénations de toutes sortes. »
« Folie : Kidnapper un mannequin et la gaver de crèmes glacées et de beignets jusqu'à l'explosion finale ! »
« La révolution n'est rien, ce qui peut en venir compte seul. »
« Le mariage est une pièce à deux personnages dont chacun n'étudie qu'un rôle, celui de l'autre. »