« Ecrire c'est ébranler le sens du monde, y disposer une interrogation indirecte, à laquelle l'écrivain, par un dernier suspens, s'abstient de répondre. La réponse, c'est chacun de nous qui la donne, y apportant son histoire, son langage, sa liberté. »
« Apprendre, partager, tant qu'y a de l'échange, y'a de l'espoir. »
« Le corps humain est un royaume où chaque organe veut être le roi ; il y a chez l'homme 3 leaders qui essayent d'imposer leur loi, cette lutte permanente est la plus grosse source d'embrouille, elle oppose depuis toujours la tête, le cœur et les couilles. »
« J'ai rencontré quelques peines, j'ai rencontré beaucoup d'joie; c'est parfois une question d'chance, souvent une histoire de choix. »
« La littérature ne permet pas de marcher, mais elle permet de respirer. »
« Laisse moi mon stylo, y'a pas moyen que je m'arrête ; j'ai une envie d'écrire comme t'as une envie de cigarette. »
« Ce que le public réclame, c'est l'image de la passion, non la passion elle-même. »
« Ma vie c'est moi qui vais la peindre, alors je vais y mettre le feu en ajoutant plein de couleurs. »
« La politesse vaut mieux que la sincérité, car la politesse fait toujours confiance à l'intelligence d'autrui. »
« JE T'AIME est sans nuances. Il supprime les explications, les aménagements, les degrés, les scrupules. »
« Parler, et à plus forte raison discourir, ce n'est pas communiquer... C'est assujettir. »
« Je revendique le droit à l'ignorance. »
« Ce que la photographie reproduit à l'infini n'a lieu qu'une fois. »
« Le fascisme, ce n'est pas d'empêcher de dire, c'est d'obliger à dire. »