« J'ai vu cette nuit la comète: sa queue est d'une fort belle longueur; j'y mets une partie de mes espérances. »
« Accepte-toi toi-même d'abord, accepte tout ce que ton être comporte, ses richesses et ses pauvretés ; accepte d'agir tel que tu es : accepte ton lot. »
« La musique de jazz, c'est une insouciance accélérée. »
« Le jour où la joie des autres devient ta joie, le jour où leur souffrance devient ta souffrance, tu peux dire que tu les aimes. »
« Je ne suis le porte-drapeau de personne... - Ecrire est une entreprise tellement solitaire... »
« La musique de jazz, c'est l'insouciance accélérée. »
« La culture, c'est comme la confiture : moins on en a, plus on l'étale. »
« Celui qui est né pour un petit pain n'en aura jamais un gros. »
« Passant, ici repose un qu'on dit être mort - Je ne sais s'il l'est ou s'il dort - Sa maladie imaginaire - Ne peut l'avoir fait mourir - Car il aimait contrefaire - C'est un grand comédien - Quoi qu'il en soit, ci-gît molière: - S'il fait le mort, il le fait bien. »
« ... La base idéale d'un riche Anglais poli: l'ennui. »
« Voilà mon ancienne thèse, qui me fera lapider un jour: c'est que le public n'est ni fou ni injuste. »
« Il n'y a qu'un vrai silence : celui de la mort. »
« Aimer, c'est faire jaillir en l'autre une nouvelle vie. C'est re-créer. »
« Vous savez qu'il n'est plus question que de guerre. Toute la cour est à l'armée, et toute l'armée est à la cour. Paris est un désert. »