« Le drame des dictatures, c'est qu'elles donnent toute licence aux malades mentaux, aux mégalomanes, aux méchants, aux malhonnêtes gens d'aller jusqu'au bout de leur folie, de leur mégalomanie, de leur méchanceté, de leur malhonnêteté. »
« La fatigue n'est pas le prix qu'on paie, mais celui qu'on reçoit... »
« La dignité passe par le sentiment qu'on a de son utilité. »
« Il existe deux sortes de combattants. Ceux qui conçoivent des stratégies et ceux qui ne sont jamais départis de la tendance enfantine à briser des objets. »
« En de certaines occasions, on négocie son avenir avec le passé. »
« Le pire, chez les militaires, c'est qu'on dirait des enfants, tout l'honneur que leur rapportent les guerres se résume en une chose : pouvoir les expliquer. »
« Tous les yeux regardent, peu observent, très peu voient. »
« Je n'aurais jamais pensé que l'enfer pût être une chose aussi simple qu'une horloge sans aiguilles. »
« Dans ce monde il y a deux attitudes : opter pour la vie et opter pour la mort. »
« La philosophie et l'amour se réservent des combats dans des sphères invisibles. Mais la guerre et le sexe sont un seul corps à corps. »
« Après avoir pleuré, nous pensons plus librement que jamais. »
« Savoir la vérité ne change pas la vie. »
« Dans les guerres s'affrontent les forces du présent et celles du passé. »
« Que sont nos sentiments ? Des nouvelles qui nous parlent de nous-mêmes. »