« Vous aviez à choisir entre la guerre et le déshonneur ; vous avez choisi le déshonneur et vous aurez la guerre. »
« Christophe Colomb était le premier socialiste: il ne savait pas où il allait, il ignorait où il se trouvait et faisait tout ça aux frais des autres. »
« Je suis prêt à rencontrer mon Créateur. Quant à savoir s'il est préparé à l'épreuve de me voir, c'est une autre histoire. »
« Et pour la fête, comme pour les enterrements, les commémorations, on sort les "habits du dimanche", ceux que l'on achète un peu trop grands et qui deviennent très vite un peu trop courts. »
« Il n'y a aucune recette pour devenir une mère parfaite, mais il y a mille et une façons d'être une bonne mère. »
« S'occuper des choses les plus sérieuses du monde n'est possible qu'à condition de comprendre aussi les choses les plus dérisoires. »
« En avalant les méchantes paroles qu'on ne profère pas, on ne s'est jamais abîmé l'estomac. »
« Un cheval, c'est malcommode au centre et dangereux aux deux extrémités. »
« Traitez vos amis comme vos tableaux : placez-les dans la lumière la plus favorable. »
« La politique est plus dangereuse que la guerre... A la guerre, vous ne pouvez être tué qu'une seule fois. En politique, plusieurs fois. »
« L'orgueilleux aimera mieux se perdre que de demander son chemin. »
« Le vice inhérent au capitalisme consiste en une répartition inégale des richesses. La vertu inhérente au socialisme consiste en une égale répartition de la misère. »
« Je n'ai rien à offrir que du sang, du labeur, des larmes et de la sueur. »
« Les économies, c'est très bien, surtout si vos parents les ont faites pour vous. »