« On se goinfre de progrès. En une minute, on peut appeler Bogota. D'abord, c'est faux. Ensuite on ne sait qui appeler ni quoi dire. »
« La télé, c'est l'éphémère; le cinéma, lui, fabrique des souvenirs... »
« La solitude n'est pas l'isolement. On est toujours deux en un. Il y a les autres en soi. »
« Le cinéaste pense avec les yeux et les oreilles, le peintre avec les mains. La littérature est un refuge. Elle approfondi la vision du monde. »
« Le cinéma n'a jamais fait partie de l'industrie du spectacle, mais de l'industrie des cosmétiques, de l'industrie des masques, succursale elle-même de l'industrie du mensonge. »
« - Quelle est votre ambition dans la vie? - - Devenir immortel et mourir. »
« Le metteur en scène est l'indispensable regard de l'autre. »
« C'est formidable le cinéma. On voit des filles avec des robes. Le cinéma arrive et on voit leurs culs... »
« Il y a le visible et l'invisible. Si vous ne filmez que le visible, c'est un téléfilm que vous faites. »
« Les Américains veulent envahir car ils n'ont pas d'histoire. »
« Qu'est-ce que l'art sinon ce par quoi les formes deviennent style. »
« Bien sûr qu'il y a des gens honnêtes, sincèrement droits, sur lesquels on peut compter jusqu'à la mort. Mais ils ne sont pas drôles. Tandis qu'une crapule... »
« Le drame des dictatures, c'est qu'elles donnent toute licence aux malades mentaux, aux mégalomanes, aux méchants, aux malhonnêtes gens d'aller jusqu'au bout de leur folie, de leur mégalomanie, de leur méchanceté, de leur malhonnêteté. »
« La fatigue n'est pas le prix qu'on paie, mais celui qu'on reçoit... »