« Sur les billets d'euros, d'un côté il y a une porte, de l'autre, un pont. Ca veut dire : si tu passes pas la porte, t'as plus qu'à te jeter du pont. »
« On a besoin de ses mains pour dire les choses que la parole ne traduit pas. »
« Les petits renoncements de l'enfance préparent l'adolescent à repousser les tentations qui se dressent sur son chemin. L'oubli de soi ne s'apprend pas en un jour. »
« La brutalité est le recours de ceux qui n'ont plus de pouvoir intérieur. »
« L'air désuet, souvent ridicule que prennent si facilement nos bonheurs quand ils sont finis. »
« Mon ordinateur, j'essaie de faire tout ce qu'il me dit mais lui ne fait rien de ce que je veux. »
« A vouloir les choses, on les obtient souvent à force de volonté, on finit par influencer les événements. »
« Il ne faut jamais dire adieu, cela porte malheur. »
« La justice, elle n'existe pas. Il y a rêve de justice dans l'esprit de certains hommes, c'est tout. »
« Jeunesse. Cette merveilleuse époque de l'éveil du cœur, époque décisive où, sous toutes ses formes, l'amour prend le sens même de la vie. »
« Travailler dans la joie délivre de la servitude. »
« A la ville chaque individu peut accomplir son travail sans nuire à personne, comme il peut aussi l'accomplir sans servir non plus à qui que ce soit. »
« Notre enfance, c'est la part la plus vraie, la plus profonde de nous-mêmes qui demande à être sauvée. »
« Tout quitter est plus facile que tout recommencer. Ailleurs, c'est toujours l'inconnu. »