« On a aussi peu de liberté maintenant qu'il y a vingt ans : faire l'amour était alors interdit aux jeunes filles ; maintenant c'est presque devenu obligatoire. Les tabous sont les mêmes. »
« La maison familiale est une prison pour les jeunes filles et une maison de correction pour les femmes. »
« Il n'y a pas de filles bien qui ont mal tourné, simplement des méchantes qui se sont trouvées. »
« Les abus sont souvent plus dangereux que les erreurs, parce que l'on y prend moins garde. »
« L'expérience est le nom que chacun donne à ses erreurs. »
« Plains ceux qui ont peur car ils créent leurs propres terreurs. »
« Les hommes sensibles préfèrent sortir le soir au matin, la nuit au jour, et la beauté des femmes mûres à celle des jeunes filles. »
« Les filles, c'est comme les limaces. Elles doivent bien servir à quelque chose, mais à quoi ? »
« Il y a de nos jours des fillettes de quatorze ou quinze ans qui devraient être condamnées pour détournement de majeurs. »
« Il n'y a pas de terreur dans un coup de fusil, seulement dans son anticipation. »
« Bien des erreurs sont nées d'une vérité dont on abuse. »
« Les hommes publics promettent la lune. Les filles publiques la font payer comptant ! »
« L'acceptation d'une vérité historique n'est réelle que si on ne réagit pas de la même manière qu'avant, avec les mêmes erreurs, lorsqu'une situation analogue se présente. »
« Des moyens très simples créent la terreur : une porte qui s'ouvre, un jardin sous la lune... On ne voit pas le diable et son oeuvre. »