« Quand on veut vivre parmi les hommes, il faut laisser chacun exister et l'accepter avec l'individualité, quelle quelle soit, qui lui a été départie. »
« L'écriture, c'est comme l'armée, on y retrouve tout le monde. Des avocats, des secrétaires, des boulangères, des critiques littéraires, des énarques, des politiciens, des fils de famille, des vagabonds, et même quelques écrivains. »
« Les vrais départs, les plus tragiques, sont ceux qui n'auront jamais lieu. »
« Il n'y a pas, sur la place de Paris, plus de vingt personnalités politiques, littéraires, artistiques, qui aient quelque chose à dire. »
« Bien peu souvent se departoit l'assemblée, que la tribune aux harengues ne fust souillée et diffamée de sang. »
« Ilz abandonnerent leurs villes en proye à Romulus, et leurs terres à departir à qui il voudroit. »
« L'art est le département des aberrations. »
« Les prix littéraires donnent un complexe de supériorité aux jurés et un complexe d'infériorité aux élus. »
« La vie sexuelle de chacun est en partie composée de fantasmes, en partie inspirée de modèles littéraires, de mythes, d'histoires ainsi que d'images et de films. »
« La force ? Ne jamais s'en départir, ne jamais s'en servir ! »
« Le cinéma ressemble tellement aux autres arts ; s'il y a des caractéristiques éminemment littéraires, il y a aussi des caractéristiques théâtrales, un aspect philosophique, des attributs empruntés à la peinture, à la sculpture, à la musique. »
« On dit d'un politicien qu'il réussit une belle carrière quand le nombre de ses arrivées ratées est inférieur à celui de ses faux départs. »
« Plus j'y songe et plus je crois que le Christ m'est apparu comme celui qui départage entre deux impossibilités. »
« Les oeuvres littéraires sont comme les visages ou les empreintes digitales, il n'y en a pas deux identiques. La littérature, c'est le règne de la singularité. »