« Accepte-toi toi-même d'abord, accepte tout ce que ton être comporte, ses richesses et ses pauvretés ; accepte d'agir tel que tu es : accepte ton lot. »
« La musique de jazz, c'est une insouciance accélérée. »
« La motivation est, pour l'esprit, semblable à de la nourriture. Une assiette seule ne suffit pas. »
« Le jour où la joie des autres devient ta joie, le jour où leur souffrance devient ta souffrance, tu peux dire que tu les aimes. »
« Je ne suis le porte-drapeau de personne... - Ecrire est une entreprise tellement solitaire... »
« La musique de jazz, c'est l'insouciance accélérée. »
« Le bonheur, c'est comme un chat, si vous essayez de le cajoler, il vous fuit, si vous ne vous occupez pas de lui, il vient se frotter contre vos jambes et saute sur vos genoux. »
« La culture, c'est comme la confiture : moins on en a, plus on l'étale. »
« Celui qui est né pour un petit pain n'en aura jamais un gros. »
« ... La base idéale d'un riche Anglais poli: l'ennui. »
« Il n'y a qu'un vrai silence : celui de la mort. »
« J'ai remarqué que ce que les chats préfèrent dans l'être humain n'est pas son habilité à le nourrir, ce qu'ils trouvent normal - mais le fait qu'il soit distrayant. »
« Aimer, c'est faire jaillir en l'autre une nouvelle vie. C'est re-créer. »
« L'argent rend égoïste. C'est bien pourquoi je veux en avoir. Je trouve l'égoïsme confortable, équilibrant... »