« Y'a pas de pays pour les vauriens, Les poètes et les balladins. »
« Paris est une grosse tête par rapport à la France. La France devient hydrocéphale, et ce n'est pas dans les grosses têtes qu'il y a les gros cerveaux. »
« Les trois grandes époques de l'humanité sont l'âge de la pierre, l'âge du bronze et l'âge de la retraite. »
« Il n'y a pas de bonne cuisine si au départ elle n'est pas faite par amitié pour celui ou celle à qui elle est destinée. »
« Le démocrate exige que tous les citoyens prennent le départ sur la même ligne. L'homme de droite estime qu'on devrait en arrêter quelques-uns en route. L'homme de gauche voudrait qu'ils finissent tous premier. »
« Le talent se développe dans la retraite ; le caractère se forme dans le tumulte du monde. »
« Le moment présent est la piste désignée à tout nouveau départ. »
« L'amour d'un père pour son enfant est voué dés le départ au renoncement, aux déceptions, cela veut dire que les parents doivent grandir avec leurs enfants, en même temps qu'eux. »
« Chaque début d'écriture est un retour à la case départ. Et la case départ, c'est un endroit où l'on se sent très seul. Un endroit où aucun de vos accomplissements passés ne compte. »
« Un départ, ça ressemble toujours à une désertion... »
« Dès l'arrivée, le départ se profile. »
« Les vrais hommes de progrès sont ceux qui ont pour point de départ un respect profond du passé. »
« Le départ, c'est souvent une pirouette pour s'échapper. Après coup, on trouve toutes sortes de bonnes raisons pour expliquer son geste, se justifier. »
« Les grosses bedaines accompagnent les maigres cerveaux ; et si des mets succulents enrichissent le corps, ils ruinent l'intelligence. »