« Tous ces siècles, les femmes ont servi de miroirs, dotés du pouvoir magique et délicieux de refléter la figure de l'homme en doublant ses dimensions naturelles. »
Voici une citation pour chacun de ses thèmes similaires :
« Je connaîs un analphabète qui est mort après avoir cherché toute sa vie l'amour avec un grand H. »
« En politique, il ne faut jamais renoncer. Le pouvoir n'est pas un enfer du tout, mais un paradis non plus ! »
« Quand la chaîne ne tourne point, point d'enfant vous n'aurez. »
« Le roi qui a la fève - N'a la galette entière. »
« Si les nuages passent dans le ciel sans s'arrêter, c'est que personne ne prend le temps de les regarder. »
« L'humanité doit beaucoup à l'homme qui a découvert la goutte d'eau qui fait déborder le vase. »
« La femme a des courbes Pour que l'homme se courbe. »
« Ce n'est pas parce qu'on a connu la même femme que nous sommes beaux-frères. »
« Taux de mortes alitées : Pourcentage de femmes qui décèdent dans leur lit »
« Rire de tout, pourquoi pas ? Rien de tel que de rire de choses graves, après on n'a plus rien à redouter. »
« Jésus a des funérailles mondiales, - Tous les dimanches, et depuis vingt siècles. »
« La guerre aussi terrible soit-elle, peut servir la justice et l'amour. »
« L'âge adulte, la période la moins sûre, la plus dangereuse en tout cas, parce que la moins simple. Comme si l'être humain en vieillissant oubliait le rythme naturel de la vie. »
« Un ami m'a dit:: J'ai peur du surnaturel et des forces du mal. Il paraîtrait que je suis hexakosioihexekontahexaphobe. »
« Même avec un miroir, je refuse de te partager. »
« L'incognito est mort, tué par les photographes de presse. L'être visé dépossédé de son secret, avoue à des millions d'exemplaires par sa pauvre figure qu'il cache en vain de la main. L'homme de demain aura-t-il droit à tout sauf à l'ombre ? »
« L'aventure est la tendresse des défigurés. »
« Pour être diplomate, il faut savoir parler plusieurs langues, y compris le double langage. »
« La rue, c'est la mer, notre chambre, un navire, qui s'en va vers un port où n'est pas la mort »