« Quand j'étais jeune, j'admirais les gens intelligents. Maintenant que je suis vieux, j'admire les gens aimables. »
« J'étais un étranger et vous m'avez accueilli. »
« J'ai écrit parce que c'était la seule façon de parler en se taisant. »
« Si tu étais la mer - Moi je serais rivière - Et mes jours couleraient vers toi - Si tu étais pays - Mes bras seraient frontières -... - Si tu étais... - Mais tu es plus encore... - Tu es, tu es - Et tu remplis mes jours - Tu es de vie - Tu es d'amour - Tu es. »
« L'usage du temps exclut la fantaisie. »
« Quand j'étais jeune, je croyais que, dans la vie, l'argent était ce qu'il y a de plus important. Maintenant que je suis vieux, je le sais. »
« Quand tu donnes tu perçois plus que tu ne donnes, car tu n'étais rien et tu deviens. »
« Il m'a fallu quinze ans pour découvrir que je n'avais pas de talent pour écrire.Hélas ! je n'ai pas pu m'arrêter, j'étais devenu trop célèbre ! »
« Les lois se taisent parmi les armes. »
« Faute de savoir ce qui est écrit là-haut, on ne sait ni ce qu'on veut ni ce qu'on fait, et qu'on suit sa fantaisie qu'on appelle raison, ou sa raison qui n'est souvent qu'une dangereuse fantaisie qui tourne tantôt bien, tantôt mal. »
« Lorsque les armes se taisent, leur bruit est remplacé par les lamentations des morts, relayées par les soupirs des survivants. »
« De tous ceux qui n'ont rien à dire, les plus agréables sont ceux qui se taisent. »
« La vie serait bien plus simple si j'étais croyant, je me poserais moins de questions. »
« Si j'étais une huître, je ne cultiverais pas ma perle. »