« La politique n'étant qu'un enchaînement de conséquences, toute vérité isolée devient un mensonge dans l'ordre social. »
« Le progrès social commence toujours par l'indépendance des fesses. »
« La peine de mort infligée aux criminels peut être envisagée à peu près sous le même point de vue : c'est pour n'être pas la victime d'un assassin que l'on consent à mourir si on le devient. »
« Le mot de révolution est un mot pour lequel on tue, pour lequel on meurt, pour lequel on envoie les masses populaires à la mort, mais qui n'a aucun contenu. »
« Je voudrais voir un peu Louis XIV face à un "assuré social"... Il verrait si l'Etat c'est lui ! »
« N'ayant pas la force d'agir, ils dissertent. »
« S'il faut obéir par la force on n'a pas besoin d'obéir par devoir et si l'on n'est plus forcé d'obéir on n'y est plus obligé. »
« Les esclaves perdent tout dans leurs fers, jusqu'au désir d'en sortir. »
« L'homme n'est pas un animal social, c'est un esprit errant, dont on ignore heureusement la nature. »
« Le progrès social est devenu une farce : les hommes travaillent moins, se reposent davantage... Mais ils sont sévèrement embrigadés dans la pensée unique. »
« On ne peut jamais savoir ce qu'il peut advenir d'un homme qui possède à la fois une certaine conception de ses intérêts et un fusil. »
« J'attends que la sexualité se démocratise afin que chacun puisse révéler sa vraie nature sans en souffrir socialement. »
« On en connaît même qui, parce qu'ils sont habillés en hommes de gauche, sont devenus ministres socialistes. »
« Les lois sont toujours utiles à ceux qui possèdent et nuisibles à ceux qui n'ont rien. »