« La souffrance enlaidit les êtres. Elle durcit les traits, fige le sourire, donne des rides et un teint gris. Le visage des gens qui souffrent fait mal voir. »
« Oh ! Pour faire, Seigneur, un seul de tes sourires, Combien faut-il donc de nos pleurs ? »
« Les rides devraient simplement être l'empreinte des sourires. »
« En te levant le matin, rappelle-toi combien précieux est le privilège de vivre, de respirer, d'être heureux. »
« L'amitié est bien plus exigeante que l'amour et l'idée que nos amis se font de nous, nous prive de combien de faiblesses délicieuses. »
« Combien de fois abandonnons-nous notre chemin, attirés par l'éclat trompeur du chemin d'à côté ? »
« Il est bon de noter combien la charge affective des mots : bien-être, joie, plaisir est différente. Le bien-être est acceptable, la joie est noble, le plaisir est suspect. »
« Nous ne saurons jamais tout le bien qu'un simple sourire peut être capable de faire. »
« Les amis de nos amis peuvent devenir odieux, à force de nous représenter combien les êtres dont nous nous croyons proches sont des inconnus. »
« Les enfants sont sans passé et c'est tout le mystère de l'innocence magique de leur sourire. »
« Rester immobile ne sert à rien. Il faut choisir entre progresser ou régresser. Allons donc de l'avant et le sourire aux lèvres. »
« Combien avaient raison les Anciens qui n'avaient qu'un même dieu pour les marchands et les voleurs. »
« Quand le visage montre un trop beau sourire, c'est pour cacher un cœur dur comme la roche des champs. »
« Accroche un sourire à ton visage, ça lui donne du charme. »