« Si vous voulez quelque chose, peu importe combien de temps, combien de vies, vous mettrez à l'accomplir. L'important est d'essayer, d'essayer encore, jusqu'à ce que vous atteigniez votre but. »
« Le paradoxe, ou la clé, ou l'attrape-nigaud, c'est que l'affirmation de notre volonté est le fondement de notre esclavage, tandis que notre soumission est la condition de notre liberté. »
« Ta part de bonheur ne part pas des personnes et des choses pour arriver à toi, elle part toujours de toi pour aller vers les autres. »
« Vous avez peur de vivre parce que vivre, c'est prendre le risque de souffrir. »
« Y'en a qui pensent que le bonheur, c'est comme l'avenir : c'est pour plus tard. »
« Rien n'est petit de ce qu'on accomplit en y mettant son cœur. »
« Sur ce sentiment inconnu, dont l'ennui, la douceur m'obsèdent, j'hésite à apposer le nom, le beau nom grave de tristesse. »
« On ne se fatigue pas de quelqu'un, vous savez, en fait, on se fatigue d'aimer. D'éprouver de l'amour. On veut bien avoir froid si le chauffage saute, mais on ne veut plus avoir mal si le cœur en fait autant. Cela s'appelle l'expérience. »
« L'attendrissement est un sentiment agréable et entraînant comme la musique militaire. »
« Les mille clairons du désir, les mille tam-tams du sang résonnèrent dans mes veines, et les mille violons du plaisir attaquèrent leur valse pour nous. »
« J'ai trop le désir qu'on respecte ma liberté pour ne pas respecter celle des autres. »
« ... Ce qui compte, ce n'est pas ce que fait quelqu'un, c'est quelqu'un. Sa présence. »
« Les mots «faire l'amour» ont une séduction à eux, très verbale, en les séparant de leur sens. Ce terme de «faire», matériel et positif, uni à cette abstraction poétique du mot «amour», m'enchantait. »
« La jalousie est la même pour un cultivateur de la Gironde que pour un intellectuel parisien. »