« Oh! attention, monseigneur, à la jalousie; c'est le monstre aux yeux verts qui tourmente la proie dont il se nourrit. »
« Je n'ai qu'une seule bonne qualité, c'est la persistante énergie des rats, qui rongeraient l'acier s'ils vivaient autant que les corbeaux. »
« Toute censure est stupide par essence puisqu'elle qualifie, précise, décuple les élans de la révolution qui la fera sauter. »
« Il faut, à certaines heures, que l'homme soucieux, anxieux, tourmenté, se retire dans la solitude et qu'il ouvre un livre pour y chercher un principe d'intérêt, un thème de divertissement, une raison de réconfort et d'oubli. »
« N'étale pas tes entrailles pour que les corbeaux s'en repaissent. »
« La peinture me harcèle et me tourmente de mille manières, comme la maîtresse la plus exigeante. »
« S'il est un homme tourmenté par la maudite ambition de mettre tout un livre dans une page, toute une page dans une phrase, et tout une phrase dans un mot, c'est moi. »
« L'amour est un tyran qui n'épargne personne. »
« Dieu a permis, pour punir l'homme du péché originel, qu'il se fît un dieu de son amour-propre pour en être tourmenté dans toutes les actions de sa vie. »
« Ma philosophie ne m'a rien rapporté, mais elle m'a beaucoup épargné. »
« Ce sont les paroles les moins tapageuses qui suscitent la tempête, et les pensées qui mènent le monde arrivent sur des ailes de colombes. »
« L'interdit donne de la saveur, la censure du talent. »
« Le temps n'épargne pas ce qu'on a fait sans lui. »
« S'il donne, il est prodigue, et s'il épargne, avare. »