« Trouver son chemin est une affaire personnelle, une affaire de lectures, de rencontres, de famille quelquefois, d'amitié le plus souvent. »
« Les dictons sont la bible des concierges. »
« Je me reproche de n'avoir pas, au jour le jour, transcrit sur un carnet spécial les phrases glanées au cours de mes lectures, qui méritaient de retenir l'attention, dont je voudrais me souvenir pour pouvoir les citer au besoin. »
« Il y a ceux qui, lorsqu'ils lisent un livre, se souviennent, comparent, évoquent des émotions éprouvées lors de lectures précédentes, observait l'écrivain argentin Ezequiel Martínez Estrada. C'est une des plus délicates des formes d'adultère. »
« Chacune de nos lectures laisse une graine qui germe. »
« Les lectures, commes les voyages, les promenades et les repas ne prennent de l'importance que par le besoin qu'on en a. »
« Le germe d'un livre ce sont des lectures, plutôt que des expériences et des idées. »
« Que chacun raisonne en son âme et conscience, qu'il se fasse une idée fondée sur ses propres lectures et non d'après les racontars des autres. »
« Je trouve mes lectures dans la lumière du ciel. C'est le livre le plus profond qui soit - et ce n'est même pas moi qui en tourne les pages. »
« Nos réflexions. Elles sont le fruit de notre commerce avec les autres, du frottement de notre intelligence avec la leur et du travail souterrain que nos lectures et nos conversations effectuent en nous. »
« Toutes les lectures qu'on aime ne sont rien d'autre que des prétextes à projection. »
« Le lecteur aime celui qui lit et qui lui parle de lectures, et en vient même, par besoin de confidences intellectuelles à faire et à recevoir, à ne pouvoir plus se passer de lui. »
« Le plus célèbre écrivain de notre nation et de notre siècle (Voltaire) faisait des sermons de ce grand orateur une de ses lectures les plus assidues; Massillon était pour lui le modèle des prosateurs, comme Racine est celui des poëtes. »
« Je trouve mes lectures dans la lumière du ciel. - C'est le livre le plus profond qui soit - et ce n'est pas moi qui en tourne les pages. »