« J'ai commencé tôt à faire de moins en moins ce qui m'aurait plu, et puis à ne plus le faire du tout. C'est ce qu'on appelle une existence remplie. »
« (La folie ou la mort) sont les deux termes familiers entre lesquels l'ignorance oscille d'habitude... »
« L'insulte, c'est aussi fort que l'écriture. »
« Etre seule avec le livre non encore écrit, c'est être encore dans le premier sommeil de l'humanité. »
« Il n'y a pas de vacances à l'amour..., ça n'existe pas. L'amour, il faut le vivre complètement avec son ennui et tout, il n'y a pas de vacances possibles à ça. »
« Tu me tues. Tu me fais du bien. »
« Le doute, c'est écrire. »
« S'il n'y a pas de musique dans les livres, il n'y pas de livres. Ce qui veut dire que quatre-vingt dix pour cent des livres ne sont pas des livres, ce sont des lectures, comme on lit un journal en prenant son bain. »
« ... La connaissance qu'a un seul homme de la faute de cent autres ne lui sert à rien. »
« Faire l'amour, en soi, ne libère pas les femmes. La question, c'est de savoir de quelle sexualité les femmes doivent se libérer pour la vivre bien. »
« La philosophie de l'artillerie : Cogito ergo boum. »
« Le dernier refuge de la pensée gnostique, ce sont les fantasmes de la schizophrénie. »
« Le plus beau chez un homme viril c'est un brin de fémininité ; le plus beau chez une femme féminine c'est un peu de masculinité. »
« On écrit pour rendre justice à la vérité. »