« L'azur de tes grands yeux m'est cher; - C'est un lointain que je regarde - Sans cesse et sans y prendre garde, - Un ciel de mer. »
« Nous sommes des «éponges» qui, à tout âge, absorbons les émotions et épousons les comportements et les attitudes de notre entourage immédiat. »
« Ils ne savent pas que sans poésie, c'est eux qui sont morts. »
« Ta place ici-bas tu dois trouver dans le branle-bas de tes combats. »
« Le bonheur va et vient et ne s'attarde pas toujours aux plus méritant mais à ceux qui apprennent à le saisir au passage. »
« Le bien, c'est l'amour. Aimer les autres, c'est détester la souffrance et l'injustice que la société mauvaise entretient. »
« Malheureux, qui ne peut se réfugier dans ses souvenirs. »
« Seul le fou qui rit ne s'entend pas pleurer. »
« Et le ressouvenir des amours et des haines - Me bercera, pareil au bruit des mers lointaines. »
« Il faut beaucoup d'années pour apprendre certains mots d'amour. »
« L'éveil de la conscience passe par tous les sens, prend naissance à la naissance et prend de plus en plus de sens avec le temps qui avance. »
« Il est difficile de changer le monde mais il est plus facile de le regarder sous un autre oeil. »
« Les sentiments viennent parfois d'un travers de l'esprit. »
« Il est tard; l'astronome aux veilles obstinées, - Sur sa tour, dans le ciel où meurt le dernier bruit - Cherche des îles d'or, et le front dans la nuit, - Regarde à l'infini blanchir des matinées. »