« Nécessairement, le hasard a beaucoup de pouvoir sur nous, puisque c'est par hasard que nous vivons. »
« Il n'y a que d'immortels principes, puisque, du jour où un principe meurt, on s'aperçoit que ce n'était qu'un paradoxe. »
« Il faut que le plaisir de gouverner soit bien grand, puisque tant de gens veulent s'en mêler. »
« L'hitoire est entièrement vraie puisque je l'ai imaginée d'un bout à l'autre. »
« Il est triste de finir quoi que ce soit. Cela tombe sans retour dans le passé ; mais cela n'en existe pas moins encore, puisque cela a un jour existé. »
« La mort d'un homme de talent m'attriste toujours, puisque le monde en a plus besoin que le ciel. »
« Puisque je ne suis pas capable de choisir, je prends le choix d'autrui. »
« Personne n'a jamais fait sa dernière bêtise, puisque la dernière c'est de consentir à n'en plus faire ! »
« On a tort de parler en amour de mauvais choix, puisque dès qu'il y a choix il ne peut être que mauvais. »
« Rien n'est grave, puisque tout est grave. »
« Il faut méditer sur ce qui procure le bonheur, puisque quand on l'a, on a tout, et lorsqu'il manque, nous faisons tout pour l'avoir. »
« On peut ne pas aimer les carottes, les salsifis, la peau du lait cuit. Mais le vin ! Autant voudrait-on détester l'air qu'on respire, puisque l'un et l'autre sont également indispensables. »
« La conception du paradis est au fond plus infernale que celle de l'enfer. L'hypothèse d'une félicité parfaite est plus désespérante que celle d'un tourment sans relâche, puisque nous sommes destinés à n'y jamais atteindre. »
« Essayons de converser sans nous exalter puisque nous sommes incapables de nous taire. »