« C'est l'homme tout entier qui est conditionné au comportement productif par l'organisation du travail, et hors de l'usine il garde la même peau et la même tête. Dépersonnalisé au travail, il demeurera dépersonnalisé chez lui. »
« Chaque jour je t'aime davantage, aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain. »
« Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, - Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs - Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille - Nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants. »
« Pour avoir l'air d'un Chinois en Chine, il ne faut jamais rougir. »
« Le but de la société humaine doit être le progrès des hommes, non celui des choses. »
« Ce n'est point le perfectionnement des machines qui est la vraie calamité ; c'est le partage injuste que nous faisons de leur produit. »
« Écrire consiste à rêver avec une intensité telle que nous parvenons à arracher au monde un morceau. »
« Les miracles, cela arrive, ou presque. »
« L'entreprise ne peut exiger la loyauté de ses salariés : elle doit la mériter. »
« Il y a plus d'intimité, plus de correspondance de l'âme dans ce qu'une lettre fait penser que dans ce qu'elle dit. »
« Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs. »
« Vécue, la souffrance n'en est pas pour autant reconnue. »
« Ce n'est qu'en pardonnant qu'on ne se trompe pas. »
« La tradition, c'est la somme des valeurs vieillies. »