« La femme serait vraiment l'égale de l'homme le jour où, à un poste important, on désignerait une femme incompétente. »
« Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C'est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l'expulser. »
« Le bonheur ne se cherche pas : on le rencontre. Il n'est que de savoir le reconnaître et de pouvoir l'accueillir. »
« Pourquoi certains arrivent-ils toujours en avance ? Parce qu'ils pensent : "On ne m'aime pas assez pour m'attendre." Pourquoi d'autres arrivent-ils toujours en retard ? Parce qu'ils pensent : "On doit m'aimer assez pour m'attendre." »
« Je ne crois pas que la justice règne jamais parce que l'injustice n'est pas dans les lois, elle est en chacun de nous. »
« Les premières étreintes sont toujours un peu ratées. On se jette l'un sur l'autre, à l'aveuglette ; poussé par trop de hâte on ne prend pas le temps de faire connaissance avec une peau, une odeur, un sexe étrangers. »
« C'est un drôle de pays, la France, où les négociations ont toujours lieu après le déclenchement des grèves et non avant. »
« J'ai toujours pensé que les salaires devaient s'établir en raison inverse de l'intérêt que l'on prend à son travail. »
« Vivre sans téléphone portable, vous imaginez le supplice ? »
« La féminité n'est pas une incompétence. Elle n'est pas non plus une compétence. »
« Libre, c'est le mot que l'on emploie pour les hommes. Des femmes en rupture de mariage ou de liaison, on dit qu'elles sont seules. »
« Un président n'a pas d'amis. »
« Les footballeurs n'ont plus de nationalité. Ils n'ont que des clubs qui ont plus ou moins d'argent pour les acheter. »
« Les Bourses ne traduisent pas l'état des économies, mais la psychologie des investisseurs. »