« La réalité ne pardonne pas qu'on la méprise ; elle se venge en effondrant le rêve, en le piétinant, en le jetant en loques dans un tas de boue ! »
« Celui qui ne connaît pas l'histoire est condamné à la revivre. »
« Le progrès n'a aucun caractère inéluctable, rien ne garantit des lendemains meilleurs. »
« Dans un art de vivre accompli où alternent, selon un ordre éprouvé, effort et repos, sérieux et jeu, travail et plaisir, la promenade a également sa place. »
« Le secret de l'agitateur est de paraître aussi bête que ses auditeurs, pour qu'ils se croient aussi intelligents que lui. »
« Ce n'est pas la conscience des hommes qui déterminent leur existence, c'est au contraire leur existence sociale qui détermine leur conscience. »
« L'histoire de l'industrie est le livre ouvert des facultés humaines. »
« L'échec est le terme dernier. »
« Les pensées de la classe dominante sont aussi, à toutes les époques, les pensées dominantes. »
« La solitude serait un endroit idéal si on pouvait choisir les gens qu'on évite. »
« Croire en Dieu, c'est vivre par quelque chose qui n'existe d'aucune manière dans le monde, sinon dans le langage ambigu de ces phénomènes que nous appelons chiffres ou symboles de la transcendance. »
« On ne peut dicter un aphorisme à une machine à écrire. Cela prendrait trop de temps. »
« L'aphorisme ne coïncide jamais avec la vérité : il est soit une demi-vérité, soit une vérité et demie. »
« Quand elle est vraiment personnelle et jaillie des origines, la prière se trouve à la limite de la pensée philosophique, elle devient philosophie dans l'instant où s'abolit toute relation intéressée avec la divinité. »