« Le monde ne plie jamais devant les volontés individuelles. »
« On n'attelle pas au même timon le cheval fougueux et la biche craintive. »
« Religion à part, le bonheur est de s'ignorer et d'arriver à la mort sans avoir senti la vie. »
« La jeunesse a une patience infinie, et d'autant plus méritoire que le temps, pour elle, se traîne avec une lenteur désespérante. »
« Les impatients arrivent toujours trop tard. »
« Il y a toujours deux chances pour ne pas retrouver l'ami que l'on quitte : notre mort ou la sienne. »
« Seul celui qui aime a le droit de blâmer, de corriger. »
« Le progrès social est devenu une farce : les hommes travaillent moins, se reposent davantage... Mais ils sont sévèrement embrigadés dans la pensée unique. »
« La pensée agit sur le corps d'une manière inexplicable ; l'homme est peut-être la pensée du grand corps de l'univers. »
« Je reprends des forces dans le sein de ma mère. »
« On s'irrite moins en fonction de l'offense reçue qu'en raison de l'idée qu'on s'est formée de soi. »
« Il est plus facile d'être malheureux du malheur d'autrui qu'heureux de son bonheur. »
« C'est la providence qui nous dirige, lorsqu'elle nous destine à jouer un rôle sur la scène du monde. »
« Une fois sur deux, un ami qui se marie est un ami perdu. »