« Les mots qu'on dit comptent si peu, quand le corps entier et l'âme les contredisent. »
« Ils (les critiques) sont comme les eunuques d'un harem. Ils sont là tous les soirs, ils assistent à la chose tous les soirs, ils constatent comment la chose doit se faire, mais ils sont incapables de la faire eux-mêmes. »
« Nous sommes libres de changer le monde et d'y introduire de la nouveauté. Sans cette liberté mentale de reconnaître ou de nier l'existence. Il n'y aurait aucune possibilité d'action. »
« C'est dans le vide de la pensée que s'inscrit le mal. »
« Le monde réagit sur nous autant que nous réagissons sur lui. »
« La seule révolution possible, c'est d'essayer de s'améliorer soi-même, en espérant que les autres fassent la même démarche. Le monde ira mieux alors. »
« Un anarchiste est un homme qui traverse scrupuleusement entre les clous, parce qu'il a horreur de discuter avec les agents. »
« L'encre des billets doux pâlit vite entre les feuillets des livres de cuisine. »
« L'enfant naturel, l'orphelin - Est malheureux et je le plains, - Mais, du moins, il n'est pas tenu - Au respect d'un père inconnu. »
« L'amitié n'exige rien en échange, que de l'entretien. »
« Faire l'amour, c'est comme sauter à la corde : on ne peut pas le faire toute la journée ! »
« Le premier mai c'est pas gai, - Je trime, a dit le muguet, - Muguet, sois pas chicaneur, - Car tu donnes du bonheur. »
« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente. »
« La révolution, c'est une tentative pour faire aboutir les rêves. »