« Le bac, c'est comme la lessive : on mouille, on sèche... Et on repasse. »
« Ce qui compte, c'est ce qui est inscrit non sur les papiers d'identité d'un homme mais dans son cœur. »
« Je me demande, au reste, si les femmes mariées savent mesurer leur déchéance. Du jour au lendemain, la plupart d'entre elles se dépouillent, se neutralisent, s'aplatissent, se coulent suivant l'image exacte de leur mari. »
« Pour être heureux, il faut essayer de vivre chaque minute au charme que nous lui trouverons lorsqu'elle ne sera plus qu'un souvenir. »
« Etienne appuya ses avant-bras sur les accoudoirs du fauteuil. »
« Personne ne saurait en finir. On peut changer de souffrance. On ne peut supprimer la souffrance. »
« N'attends pas que les événements arrivent comme tu le souhaites. Décide de vouloir ce qui arrive... Et tu seras heureux. »
« Souviens-toi que tu es comme un acteur dans le rôle que l'auteur t'a confié : court, s'il est court ; long, s'il est long. Il dépend de toi de bien jouer ton rôle, mais non de le choisir. »
« Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses mais les jugements qu'ils portent sur les choses. »
« Celui qui progresse ne blâme personne, ne loue personne, ne critique personne, n'incrimine personne. Il ne dit rien, ni de son importance, ni de son savoir. »
« La liberté, c'est l'indépendance de la pensée. »
« C'est le fait d'un ignorant d'accuser les autres de ses propres échecs ; celui qui a commencé de s'instruire, s'en accuse soi-même ; celui qui est instruit n'en accuse ni autrui ni soi-même. »
« Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses, ce sont les jugements qu'ils portent sur les choses. »
« Et, si tu bois de l'eau, ne dis pas à tout propos que tu bois de l'eau. »