« Les temps changent. Autrefois, c'était l'homme qui décidait. Il donnait la vie, la femme était comme un frigidaire. Enfin, un frigidaire chaud ! Dont l'homme tirait la poignée ! »
« Combien de vertus apparentes cachent souvent des vices réels ! Le sage est sobre par tempérance, le fourbe l'est par fausseté. »
« Telle est la volonté des dieux : tout plaisir s'accompagne de peine. »
« Il n'y a pas de bonheur pour nous. Nous ne devons que travailler : quant au bonheur, il appartient à notre lointaine progéniture. »
« On dirait que la vie n'est qu'une immense dérision. »
« C'est un phénomène classique que la déchéance des études s'accompagne de l'inflation des diplômes et des titres. »
« Il est triste que la bonté n'accompagne pas toujours la force. »
« La liberté est un mot, une convention qui décrit une réalité abstraite, lointaine, insaisissable. »
« On rougirait bientôt de ses décisions, si l'on voulait réfléchir sur les raisons pour lesquelles on se détermine. »
« Quand les hommes deviennent vertueux dans leur vieillesse, ils font seulement à Dieu un sacrifice des restes du diable. »
« Ce sont les petites précautions qui conservent les grandes vertus. »
« Que d'hommes se croient vertueux parce qu'ils sont austères, et raisonnables, parce qu'ils sont ennuyeux. »
« On rencontre des hommes si vaniteux qu'ils arrivent à être fiers de ceux qui les font cocus. »
« L'humanité est la première des vertus. »