« Et ce songe était tel, que Booz vit un chêne - Qui, sorti de son ventre, allait jusqu'au ciel bleu; - Une race y montait comme une longue chaîne; - Un roi chantait en bas, en haut mourait un dieu. »
« La vocation de l'homme est de prendre racine comme le chêne et non de voltiger comme le papillon. »
« Les mots sont comme les glands. Chacun d'eux ne donne pas un chêne, mais si vous en plantez un nombre suffisant, vous obtiendrez sûrement un chêne tôt ou tard. »
« Il est vain, si l'on plante un chêne, d'espérer s'abriter bientôt sous son feuillage. »
« Tout, dans la vie, est affaie de choix. Cela commence par : la tétine ou le téton ? Et cela s'achève par : le chêne ou le sapin. »
« Rien de grand n'a de grands commencements, ni les chênes, ni les fleuves, ni les royaumes, ni les hommes de génie. »
« Oh! quel farouche bruit font dans le crépuscule - Les chênes qu'on abat pour le bûcher d'Hercule! - Les chevaux de la Mort se mettent à hennir - Et sont joyeux car l'âge éclatant va finir... »
« Les grives, de retour des prés, fusent avec rapidité entre les chênes. Il les ajuste pour se faire l'oeil. »
« C'est par petit coups répétés qu'on renverse les chênes les plus grands. »