« Les patrons sont comme les chats dans une litière. Instinctivement ils remuent tout pour cacher ce qu'ils ont fait. »
« Les chiens vous regardent tous avec vénération. Les chats vous toisent tous avec dédain. Il n'y a que les cochons qui vous considèrent comme leurs égaux. »
« Il est dangereux d'être trop empressé auprès des femmes et de les assouvir. Il faut de l'indifférence pour les enflammer ; et elles s'accoutument autant de caresses excessives qu'elles s'en dégoûtent à la fin. »
« Les rêves présentent l'avantage indéniable de pouvoir être caressés sans risquer de prendre une main sur la figure ! »
« Les caresses des yeux sont les plus adorables. »
« Une puce ne peut pas piquer une locomotive, mais elle peut rendre fou le machiniste. »
« Car j'eusse avec ferveur, baisé ton noble corps, - Et depuis tes pieds frais jusqu'à tes noires tresses - Déroulé le trésor des profondes caresses. »
« Ceux qui jouent avec des chats doivent s'attendre à être griffés. »
« Mieux vaut élever son esprit que des chats siamois. »
« Si je préfère les chats aux chiens, - C'est qu'il n'y a pas de chats policiers. »
« Les chiens ont des maîtres, les chats ont des serviteurs. »
« Les patrons sont comme les chats dans un litière. Instinctivement, il remuent tout pour cacher ce qu'ils ont fait. »
« Ce bloc enfariné ne me dit rien qui vaille, - S'écria-t-il de loin au général des chats. »
« Les conventions nous tiennent en prison, comme la puce dans la culotte. »