« Malheur à la science qui ne se tourne pas à aimer. »
« Le propre de l'hérétique, c'est-à-dire de celui qui a une opinion particulière, est de s'attacher à ses propres pensées. »
« Sommes-nous donc si malheureux, qu'il y ait quelque chose qui soit défendu, même dans l'usage de ce qui est permis ? »
« Tout est vain en nous, excepté le sincère aveu que nous faisons devant Dieu de nos vanités. »
« La foi est une adhérence de cœur à la vérité éternelle. »
« Notre vie est toujours emportée par le temps, qui ne cesse de nous échapper. »
« Apprenons, avant toutes choses, à n'être pas éblouis du bonheur qui ne remplit pas le cœur de l'homme. »
« Ce n'est pas toujours l'objet défendu, mais c'est fort souvent l'attache qui fait des crimes damnables ! »
« Tout flatteur, quel qu'il soit, est toujours un animal traître et odieux. »
« La piété est le tout de l'homme. »
« Il est véritable que qui ôte à l'esprit la réflexion lui ôte toute sa force. »
« Malheur à la connaissance stérile qui ne se tourne point à aimer ! »
« De quelque superbe distinction que se flattent les hommes, ils ont tous une même origine, et cette origine est petite. »
« Par la constitution de la justice de cette vie, l'amour de Dieu ne parvient jamais à l'entière extinction de l'amour-propre. »