« Engraisser les sillons du laboureur anonyme, c'est le véritable avenir du véritable soldat. »
« A mesure qu'on reste dans un endroit, les choses et les gens se débraillent, pourrissent et se mettent à puer exprès pour vous. »
« Il n'y a pas de petites ressources pour le génie, il n'y en a que de possibles ou d'impossibles. »
« ... Ce n'est peut-être que cela la jeunesse, de l'entrain à vieillir. »
« C'est un garçon sans importance collective, c'est tout juste un individu. »
« Philosopher n'est qu'une autre façon d'avoir peur et ne porte guère qu'aux lâches simulacres. »
« Une forte vie intérieure se suffit à elle-même et ferait fondre vingt années de banquise. »
« Tant que le militaire ne tue pas, c'est un enfant. On l'amuse aisément. N'ayant pas l'habitude de penser, dès qu'on lui parle il est forcé pour essayer de vous comprendre de se résoudre à des efforts accablants. »
« Dans l'Histoire des temps la vie n'est qu'une ivresse, la Vérité c'est la Mort. »
« Après tout, pourquoi n'y aurait-il pas autant d'art possible dans la laideur que dans la beauté? C'est un genre à cultiver voilà tout. »
« Certes, je veux bien aller au Ciel. Anatole france voulait bien y aller aussi mais à condition que l'on y serve le café au lait au lit... Le lit, je m'en moque, mais le café-crème, j'y tiens. »
« ... La peur. L'envers et l'endroit de la guerre. »
« L'amour c'est comme l'alcool, plus on est impuissant et soûl et plus on se croit fort et malin, et sûr de ses droits. »
« Il y a trop de choses à comprendre en même temps. »