« Comme une pollution nocturne, le rêve érotique témoigne de la passion rêvée. »
« Est-il donc vrai que dans tout amour, il y a une souffrance en éclosion ? Pourquoi devons-nous toujours payer d'une incertitude, d'un doute, d'une angoisse même, nos plus petits bonheurs ? »
« Le rire est l'antidote de la morosité et de l'ennui : il dissipe les idées morbides et se fait souvent le garant d'une bonne santé mentale. Les gens qui rient sont des gens heureux : ils n'ont pas d'histoire. »
« Il y a des êtres qui deviennent si proches de nous qu'on les dirait intégrés à nous-mêmes. En épousant leurs sentiments les plus intimes, en scrutant le mystère de leur âme, nous assimilons une part de leur être. »
« C'est beau, c'est frais, c'est transparent, un enfant. C'est par lui que nous viennent les plus grandes leçons de la vie. »
« Les humbles travaux quotidiens, la simplicité de la vie, les modestes joies qu'on se tisse dans la couleur du temps qui passe, tout cela ressemble étrangement au bonheur. »
« Pourquoi faut-il donc ériger des barrières face à l'explosion de nos sentiments ; pourquoi l'être aimé ne pourrait-il pas lire en nous comme dans un livre ouvert les pensées nobles et généreuses qui nous animent ? »
« Face aux erreurs, si les torts sont partagés, les sanctions ne le sont jamais. »
« Tout bonheur doit sans doute se payer ; sa conquête, du moins, exige toujours un combat. »
« En vieillissant, nous perdons le sens des vérités fondamentales. »
« Un certain romantisme sommeille au cœur de toute femme. »
« Il faut sans doute payer le prix de ses amours comme on paie celui de ses ambitions. »
« Cheveux au vent, comme le coq matinal, le rassembleur chante sa victoire sur le fainéantisme. »
« Les mains sont des symboles et parfois des révélations. »