« Dans une famille on est tous tributaire les uns des autres. Le malheur de l'un fait le malheur de tous. »
« Chasse la nature à coups de fourche, elle reviendra toujours au pas de course. »
« La poésie, puisée en elle-même, n'est rien d'autre qu'un moyen d'expression et de désenvoûtement de la réalité. »
« Il emporte tous les suffrages, celui qui mêle l'utile à l'agréable. »
« Comme la nuit paraît longue à la douleur qui s'éveille. »
« Les cicatrices psychiques laissées par le simple fait de se croire laide marquent à jamais la personnalité. »
« Chassez le naturel avec une fourche, il reviendra toujours en courant. »
« Les peintres et les poètes ont toujours eu le droit de tout oser. »
« Commencer, c'est avoir à moitié fini. »
« Pourquoi l'amour ? L'amitié n'apporte-t-elle pas autant, sans en avoir les innombrables défauts. »
« La pâle mort frappe d'un pied indifférent les masures des pauvres et les palais des rois. »
« Souvent même la crainte de la mort pénètre les humains d'une telle haine de la vie qu'ils se donnent volontairement la mort dans l'excès de leur détresse, oubliant que la source de leurs peines est cette crainte elle-même. »
« Hélas! j'aurai passé près d'elle inaperçu, - Toujours à ses côtés, et pourtant solitaire, - Et j'aurai jusqu'au bout fait mon temps sur la terre, - N'osant rien demander et n'ayant rien reçu. »
« Courir au-delà des mers, c'est changer de climat, mais non changer de cœur. »