« Les guerres ont toutes sortes de prétextes, mais n'ont jamais qu'une cause : l'armée. Otez l'armée, vous ôtez la guerre. »
« Quand vous allez pour vous noyer, ôtez d'abord vos vêtements : ils pourront servir au second mari de votre femme. »
« En marchant, les femmes peuvent tout : montrer ou ne rien laisser voir. Otez la jupe à une femme, adieu la coquetterie, plus de passion. »
« Qu'est-ce qu'un fat sans fatuité ? Ôtez les ailes à un papillon, c'est une chenille. »
« Les moeurs sont un collier de perles ; ôtez le noeud, tout défile. »
« C'est un grand agrément que la diversité. - Nous sommes bien comme nous sommes. - Donnez le même esprit aux hommes; - vous ôtez tout le sel de la société. - L'ennui naquit un jour de l'uniformité. »
« La civilisation, la société et les moeurs sont comme un chapelet dont le noeud est la croyance à l'immortalité de l'âme ; ôtez le noeud, tout s'en va. »
« Donnez le même esprit aux hommes, vous ôtez tout le sel de la société. L'ennui naquit un jour de l'uniformité. »
« L'ambition est à l'homme ce que l'air est à la nature; ôtez l'un au moral et l'autre au physique, il n'y a plus de mouvement. »
« Otez à nos savants le plaisir de se faire écouter, le savoir ne sera rien pour eux. »
« Si vous ôtez la foi au peuple, vous n'avez que des voleurs de grand chemin. »
« Ôtez l'homme de la société, vous l'isolez. »
« Otez-nous de ces biens l'affluence importune. »
« Qu'est-ce que la France, je vous le demande? Un coq sur un fumier. Otez le fumier, le coq meurt. C'est ce qui arrive lorsqu'on pousse la sottise jusqu'à confondre tas de fumier et tas d'ordures. »