« Comment la femme pourrait-elle échapper à ses penchants serviles et perfides quand l'éducation l'a façonnée dès l'enfance à étouffer son caractère pour se plier à celui du premier venu que le hasard, l'intrigue ou l'avarice lui choisiront pour époux? »
« Le moment précis où l'on devient ridicule nous échappe toujours. »
« L'amour comme un vertige, comme un sacrifice, et comme le dernier mot de tout. »
« Le mariage semble inventé pour récompenser les pervers ; plus un homme est astucieux et séducteur, plus il lui est facile d'arriver par le mariage à l'opulence et à l'estime publique ; il en est de même de femmes. »
« Une religion qui serait à la mesure de notre compréhension ne saurait suffire à nos besoins. »
« Le mariage est le tombeau de la femme, le principe de toute servitude féminine. »
« Le mélodrame nous fait rire jusqu'au jour où on doit le jouer soi-même. »
« Travail et amour, c'est deux roues énormes sur lesquelles roule le chariot du monde. »
« C'est fou ce que ça peut faire comme impression, se sentir inutile au reste du monde. Ça vous écrase mais en même temps ça vous libère. »
« Un homme qui a fait une fois un bond dans le Paradis, comment pourrait-il s'accommoder ensuite de la vie de tout le monde ? »
« Les femmes ne perdent jamais une occasion de se montrer mystérieuses. »
« Le patron est comme tout le monde, il ne sait pas grand chose. »
« La fidélité est contraire à la nature humaine. »
« L'admirable avantage d'être politicien c'est de toujours pouvoir se convaincre qu'en avançant soi-même on fait automatiquement progresser le peuple. »