« Le peuple a besoin qu'on l'éblouisse et non pas qu'on l'éclaire. »
« Il faut accepter l'amour avec tout son cortège de souffrances, parce que l'amour ne vient pas sans souffrance, et c'est par là qu'il est grand ! »
« Tous ces caprices philosophiques appelés des devoirs n'ont aucun rapport avec la nature. »
« La paresse est un vice très agréable puisqu'il nous traîne tous les autres à sa suite. »
« Le patron n'est autre que le personnage qui est en retard quand vous êtes en avance et qui arrive avant vous si vous êtes en retard. »
« Le miracle de l'amour, ce n'est pas d'aimer un homme ou une femme : c'est de s'aimer soi-même juste assez pour être capable d'aimer vraiment une autre personne. »
« Les souvenirs, c'est ce qu'on peut amener de plus beau dans l'éternité... »
« Tous les débauchés sont des saints qui s'ignorent. »
« Peut-être quand nous mourrons, peut-être la mort seule nous donnera la clef et la suite et la fin de cette aventure manquée. »
« Une activité intense, que ce soit à l'école ou à l'université, à l'église ou au marché, est le symptôme d'un manque d'énergie, alors que la faculté d'être oisif est la marque d'un large appétit et d'une conscience aiguë de sa propre identité. »
« «Dieu!» soupire à part soi la plaintive Chimène, - «Qu'il est joli garçon, l'assassin de Papa!» »
« Retourner en arrière est une aventure aussi périlleuse que de s'élancer vers l'avenir. »
« Bonne tenue et bon langage apportent toujours bons dividendes. »
« La limite idéale vers laquelle tend la nouvelle organisation du travail est celle où le travail se bornerait à cette seule forme de l'action: l'initiative. »