« Les lois, les fiscalités, les coutumes, les langues sont différentes. L'Euro, c'est désormais le plus petit dénominateur commun de l'Europe. »
« Faire une élection, c'est raconter une histoire de telle façon que l'enfant qui sommeille en tout électeur croie que le candidat est le seul héros crédible de cette histoire. »
« La mondialisation, de fait, entraîne la régionalisation. »
« La déprime, pour un homme, c'est quand il ne peut pas la seconde fois pour la première fois. La déroute, c'est quand il ne peut pas la première fois pour la seconde fois. »
« Euro : Au lieu d'investir des millions dans des campagnes de communication, il faut donner un convertisseur à chaque Français. »
« La communication d'aujourd'hui sort des tripes, pas des neurones. »
« Ne dites pas à ma mère que je suis dans la pub, elle me croit pianiste dans un bordel. »
« L'amitié est un parapluie qui a le défaut de se retourner quand il fait mauvais temps. »
« Arriver tous les jours à son travail avec une heure de retard est un signe de ponctualité. »
« Méfiez-vous des gens dont on dit qu'ils ont le cœur sur la main. Comme ce n'est pas sa place, demandez-vous ce qu'ils peuvent bien avoir à la place du cœur. »
« La femme fut formée d'une côte d'Adam. Voilà une côte sur laquelle il y a eu bien des naufrages. »
« On dit que l'argent ne fait pas le bonheur. Peut-être, mais il vous permet en tout cas de choisir le genre de misère que vous préférez. »
« S'il y a tant d'accidents sur les routes, c'est parce que nous avons des voitures de demain, conduites par des hommes d'aujourd'hui sur des routes d'hier. »
« Crise d'adolescence : en réalité, le seul moment où l'homme, ayant mesuré son destin, est tenté d'aller jusqu'au bout de ses pensées. »