« Les enfants martyrs sont ceux qu'on embrasse trop. Les grand-mères sont particulièrement recherchées pour cette tâche de tortionnaire. »
« Le progrès social est devenu une farce : les hommes travaillent moins, se reposent davantage... Mais ils sont sévèrement embrigadés dans la pensée unique. »
« Les pères et les mères font des enfants ; Dieu seul fait les saints. »
« Il n'y a que les pères et les mères qui s'affligent véritablement de la maladie de leurs enfants. »
« Contempler, c'est labourer ; penser, c'est agir. Les bras croisés travaillent, les mains jointes font. »
« Le cœur des mères se glisse derrière les lois des hommes. »
« Les filles menacent toujours les mères parce qu'elles ont un corps de femme. »
« Les mères n'ont pas de rang, pas de place. Elles naissent en même temps que leurs enfants. »
« Paris est peut-être la ville du monde la plus sensuelle et où l'on raffine le plus sur les plaisirs; mais c'est peut-être celle où l'on mène une vie plus dure. Pour qu'un homme vive délicieusement, il faut que cent autres travaillent sans relâche. »
« La ville n'est pas grande, mais fort ancienne et bien renommée pour l'apport qu'il y a, à cause de l'apparition de certaines deesses qui y sont reclamées et que l'on appelle les Meres. »
« L'exactitude est le propre des gens qui travaillent beaucoup. Seuls, les oisifs peuvent se permettre de gaspiller le peu de temps qui nous est accordé pour vivre. »
« Les hommes par leur conduite envers les femmes, travaillent à leur donner tous les défauts qu'ils leur reprochent. »
« Le capital est du travail accumulé. Seulement, comme on ne peut pas tout faire, ce sont les uns qui travaillent et les autres qui accumulent. »
« Mais j'étais un fils. Les fils ne savent pas que leurs mères sont mortelles. »