« Nous vivons dans un monde où des activités de plus en plus nombreuses et pressantes concurrencent toujours plus durement celle qui consiste à se préoccuper de la poésie, que ce soit dans les livres ou dans le rapport à soi. »
« Nos maladies nous ressemblent. »
« Il te faudra franchir la mort pour que tu vives. »
« C'est effrayant de vivre avec des gens qui vous connaissent. Ils vous empêchent de changer en ne s'apercevant pas que vous êtes un autre. »
« Les amis, les relations, la société à laquelle on appartient sont des gages de succès plus certains que l'effort acharné et la compétence lentement acquise. »
« Amis ou ennemis, il est toujours bon de bien connaître ceux qu'on aime, et meilleur encore de mieux connaître ceux qu'on aime moins. »
« Les enfants sont des entraves quand ils sont jeunes. Plus tard, ils nous quittent. »
« C'est par l'attention que l'esprit parvient à se former des notions vraies des choses. »
« Là où il n'y a que tiédeur, tranquillité, pusillanimité, ne croissent aussi qu'ennui et médiocrité. »
« Tout est mensonge. Seule est la vraie vie. »
« La passion ne peut déboucher sur le malheur ou le bonheur ; elle est sa propre fin. »
« C'est peu de chose qu'un homme et le meilleur se dégoûte de lui-même quand il se mesure à l'aune de la vérité. »
« Les seuls sentiments qui en valent la peine sont à la fois enfantins et »
« Le bonheur, c'est mieux de ne pas trop l'attendre des autres. »