« ... Cette police dont les coupables sont le prétexte, et les innocents le but. »
« Longtemps encore l'humanité aura besoin qu'on lui fasse du bien malgré elle. Gouverner pour le progrès, c'est gouverner de droit divin. »
« Combien il vaut mieux souffrir de l'oppression de ses ennemis que rougir des excès de ses alliés. »
« Les sentiments que nous feignons, nous finissons par les éprouver. »
« Le Coeur seul peut plaider sa cause. »
« Aussitôt qu'un homme a le nécessaire, il ne lui faut que de l'élévation dans l'âme pour se passer du superflu. »
« Certains gouvernements, quand ils envoient leurs légions d'un pôle à l'autre, parlent encore de la défense de leurs foyers; on dirait qu'ils appellent leurs foyers tous les endroits où ils ont mis le feu. »
« Toutes les fois que les gouvernements prétendent faire nos affaires, ils les font plus mal et plus dispendieusement que nous. »
« Vous ne pouvez changer la vision politique des gens avec un film, mais vous pouvez au moins engendrer une discussion politique. »
« Pour être heureux avec les êtres, il ne faut leur demander que ce qu'ils peuvent donner. »
« L'arbitraire n'est pas seulement funeste lorsqu'on s'en sert pour le crime. Employé contre le crime, il est encore dangereux. »
« Rien de plus absurde que de violenter les habitudes, sous prétexte de servir les intérêts. Le premier des intérêts, c'est d'être heureux, et les habitudes forment une partie essentielle du bonheur. »
« Les dépositaires du pouvoir ont une disposition fâcheuse à considérer tout ce qui n'est pas eux comme une faction. Ils rangent quelquefois la nation même dans cette catégorie. »
« La paresse, c'est se lever à six heures du matin pour avoir plus longtemps à ne rien faire. »