« En te levant le matin, rappelle-toi combien précieux est le privilège de vivre, de respirer, d'être heureux. »
« Quand le pouvoir pousse l'homme à l'arrogance, la poésie lui rappelle la richesse de l'existence. Quand le pouvoir corrompt, la poésie purifie. »
« Un diplomate est un homme qui se rappelle l'anniversaire d'une femme et qui oublie son âge. »
« Rappelle à l'ordre un ami en secret et loue-le en public. »
« Quelquefois l'échec est nécessaire à l'artiste. Cela lui rappelle que l'échec n'est pas un désastre définitif. Et cela le libère de la tapageuse contrainte du perfectionnisme. »
« La mémoire, c'est ce qui rappelle à un homme que l'anniversaire de sa femme c'était la veille. »
« Qui peut jamais être seul un instant en Italie ? Chaque pierre a une voix, chaque grain de poussière semble être l'instinct d'un esprit du Passé, chaque marche rappelle quelque ligne, quelque légende d'une tradition depuis longtemps à l'abandon. »
« Je comprends enfin à quel moment les dames commencent à opter pour les deux pièces : quand elles ne supportent plus que la mode de la rue leur rappelle leur jeunesse perdue. »
« Cela me rappelle le mot d'un solitaire qui disait aux personnes dont il recevait quelquefois la visite: Vous voyez un homme presque aussi heureux que s'il était mort. »
« La photographie, c'est la conscience même de la peinture. Elle lui rappelle sans cesse ce qu'elle ne doit pas faire. Que la peinture prenne donc ses responsabilités. »
« La seule chose qui m'ennuie avec les grands voyageurs, c'est qu'on ne peut jamais les emmener quelque part pour leur faire une surprise : cela leur rappelle toujours quelque chose. »
« Il y a dans l'aurore du talent quelque chose de naïf et de hardi en même temps qui rappelle les grâces de l'enfance et aussi son heureuse insouciance des conventions qui régissent les hommes faits. »
« J'ai appelé un plombier en octobre. Il m'a dit qu'il passerait en juin. Il faut que je le rappelle en mai pour qu'il me précise l'année. »
« On se rappelle beaucoup mieux les bons moments : alors, à quoi servent les mauvais ? »