« Si l'ennui était mortel, l'école serait un cimetière. »
« La réalité, elle serait très bonne et très simple, si l'homme ne s'était pas mis en tête de vouloir expliquer ce qu'elle est. »
« La légèreté est nécessaire, sinon le tragique serait mortel. »
« Une école où les écoliers feraient la loi serait une triste école. »
« Il est aussi absurde de pleurer sur le temps où on ne sera plus, qu'il le serait de déplorer celui où l'on n'était pas encore. »
« Si on n'était fidèle qu'à ceux qui le méritent, on ne le serait même pas à soi-même. »
« L'admission des femmes à l'égalité parfaite serait la marque la plus sûre de la civilisation, et elle doublerait les forces intellectuelles du genre humain. »
« S'il ne fallait retenir qu'une vertu des Technologies de l'Information et de la Communication ce serait celle-ci : la possibilité d'offrir à chacun une tribune, un espace de liberté, d'expression. »
« L'ennui d'une femme a toujours un nom : celui de l'homme avec qui elle vit. Car si elle s'ennuie, c'est qu'il ne la désennuie pas. »
« La génération formée à l'école des notions scientifiques va à la rencontre de la plus forte déception qui soit : celle de la vanité du savoir. »
« Je regrette l'époque où on n'était pas obligé de baiser une femme qu'on invitait à dîner. »
« Les femmes ne peuvent jamais se décider entre la fierté d'inspirer de la jalousie et l'ennui d'en supporter les conséquences. »
« Si tous les parents choisissaient les noms de leurs enfants avec soin, le monde en serait changé. Un nom, c'est la moitié de la personnalité. »
« La femme, ainsi, était toujours la bête de luxure, dont le prêtre simplement se servait aujourd'hui pour assurer le règne de Dieu. »